Quand le père s’efface… et que la mère tient bon
Il arrive que le père ne soit plus là.Pas vraiment parti, mais pas vraiment présent non plus. Des appels qui ne viennent pas, des anniversaires oubliés,
des silences plus bruyants que les disputes.
Et pendant ce temps-là, il faut tout porter.
Les enfants. Les courses. Les devoirs. Les émotions.
Être deux. Parfois trois. Sans jamais baisser la garde.
Certaines mères élèvent seules.
Par choix, par obligation, par force des choses.
Mais une chose est sûre :
Elles n’ont rien à prouver.
Pas besoin de double dose de tendresse pour être à la hauteur.
Elles sont entières. Solides. Et tellement humaines.
Chez O’mum, on veut parler aussi de ça.
Des mères sans relais. Des femmes sans pause.
Des héroïnes du quotidien qui avancent malgré tout.
Ce n’est pas pour pointer du doigt.
C’est pour dire :

Il est là. Et ça change tout.
Il ne fait pas ça pour qu’on le remercie.
Il ne fait pas ça pour qu’on l’applaudisse.
Il le fait parce qu’il aime. Parce qu’il comprend. Parce qu’il est là.
Il se lève la nuit.
Il prépare les biberons, parfois maladroitement, mais avec cœur.
Il tient la main pendant les contractions, et parfois il pleure aussi.
Il fait les machines sans qu’on lui demande.
Il dit : “repose-toi, je m’occupe de tout”.
Ce texte, c’est pour eux.
Ces hommes qu’on voit peu dans les récits, mais qui font la différence.
Pas des héros.
Juste des partenaires. Des vrais.
Ceux qui ne fuient pas.
Ceux qui restent. Qui écoutent. Qui portent avec nous.
Quand un homme prend soin de la femme qui vient de donner la vie,
il ne fait pas “sa part”.
Il crée un équilibre. Un respect. Une douceur.
Et ça… ça change tout.

“Et toi, qui s’occupe de toi ?”
Il y a ce bébé qui t’appelle.
Ce petit être qui dépend entièrement de toi.
Tu l’allaites peut-être, tu le portes, tu le consoles.
Tu es là, pour lui. Toujours. Sans pause.
Puis il y a le reste.
Le compagnon. Le mari.
Le père. Le frère.
Le patron, parfois.
Des hommes à prendre en charge, d’une manière ou d’une autre.
Et toi ?
Où es-tu, dans tout ça ?
On t’a peut-être appris à être forte.
À être douce. Disponible. À anticiper.
À faire sans demander.
À faire pour les autres. Toujours.
Mais à quel moment de ta vie… t’es-tu occupée de toi comme tu prends soin des autres ?
Est-ce que tu fais à leur place, pour que ce soit plus rapide ?
Est-ce que tu dis "oui", même quand ton corps crie "non" ?
Est-ce que tu dors mal, tu digères mal, tu respires mal… mais tu continues, parce qu’il faut ?
Parfois, ce n’est pas un burnout.
Parfois, c’est un trop-plein d’oubli de soi.
Le corps parle. Il envoie des signaux.
Fatigue chronique. Irritations. Douleurs vagues. Tensions diffuses.
Et un jour, il crie.
Parce que tu ne t’es pas écoutée.
Parce que tu ne t’es pas choisie.
Ce texte n’est pas un reproche.
C’est une invitation.
À te poser la seule question qui compte :
Et moi, où suis-je dans ma propre vie ?

Nous deux, malgré tout
Ce n’est pas toujours simple.
Il y a eu des nuits sans sommeil. Des mots trop forts.
Des silences qui pèsent, et des regards qui sauvent.
Mais il y a surtout ce “nous”.
Pas parfait. Pas Instagramable.
Mais sincère.
Un jour, tu as tenu sa main.
Puis il a tenu la tienne.
Et entre deux lessives, deux rendez-vous, deux disputes…
Vous avez tenu bon.
Il est là.
Tu es là.
Et parfois, c’est tout ce qu’il faut.
Ce coffret, c’est pour vous deux.
Pour ces moments où vous vous rappelez que l’amour ne se dit pas toujours avec des mots.
Parfois, il se glisse dans une tisane partagée.
Un massage silencieux.
Un regard complice.
Ce n’est pas un coffret de Saint-Valentin.
C’est un hommage.
À vous. À votre lien.
À ce que vous construisez, chaque jour.
